Ce jeudi à 19h, MyZen TV vous emmène en voyage avec « Habiter sous les tropiques », une série documentaire qui suit trois aventuriers ayant fait le pari fou de tout quitter pour s’installer aux Philippines. Une Espagnole, un Suisse-Italien et un Japonais ont décidé de transformer leurs rêves en réalité en s’installant sur des îles paradisiaques. Loin du tumulte de leur vie passée, ils découvrent une existence où chaque journée est une exploration et où la définition du « chez-soi » prend une toute nouvelle dimension.
Tout quitter pour mieux se retrouver
S’installer sous les tropiques ne se résume pas à des plages de sable fin et des couchers de soleil idylliques. Derrière l’image de carte postale se cachent des défis de taille : apprendre à s’adapter à un climat parfois imprévisible, comprendre les subtilités culturelles d’un nouveau pays et se construire un quotidien loin des repères habituels. « Habiter sous les tropiques » met en lumière ces parcours inspirants et souvent semés d’embûches. L’Espagnole, lassée de la routine citadine, découvre une communauté où le temps semble suspendu et où les liens humains priment sur la course à la réussite. Le Suisse-Italien, lui, troque sa vie organisée contre l’inconnu, et apprend à lâcher prise dans un environnement où tout est moins structuré. Quant au Japonais, il réinvente sa définition du bonheur en s’éloignant des pressions sociétales de son pays natal.
Un rêve accessible à tous ?
Si ces récits font rêver, ils soulèvent aussi une question essentielle : peut-on réellement tout plaquer pour repartir à zéro ? La série démontre que ce choix radical n’est pas réservé à une élite. Avec de la volonté, une bonne dose d’adaptabilité et une ouverture d’esprit, il est possible de redéfinir sa vie selon ses propres termes. Loin des diktats traditionnels qui lient souvent l’identité à un lieu de naissance ou à un passé professionnel, ces témoignages prouvent que le bonheur se construit là où l’on se sent en harmonie avec soi-même. Ce programme inspirant pousse à la réflexion : et si l’on osait, nous aussi, sortir de notre zone de confort ?